Lorsque je relève la tête, elle se cogne contre le plafond. Je reviens de la gueule du Loup. Il revient. Dans un mois et demi. Il revient et j’espère qu’Il m’offrira un peu de temps à Lui. Une heure, une soirée, une nuit. Peut être qu’il ne se passera Rien. Mais que je relèverai la tête sans l’exploser contre le ciel. Il m’a promis qu’il ne partirai pas comme un voleur. Qu’il serai là. « Faut faire attention a Toi Louloute » ce sont ces derniers mots qui ont marqué la fin d’un été à l’oublier. En vain. En vain. Je n’arrive plus à faire semblant. Il a était là, et il y est toujours. L’absence n’efface rien. Il est encore plus présent qu’avant. J’aimerai remplir le vide. Je saisi toute les perches. Il parait que tout s’apprends sur le terrain. Je ne tiens pas en équilibre. Je voudrais tomber à ses lèvres sans me casser les dents.
rivage
Coquille Vide
Samedi 10 juillet 2010 à 14:17
Lorsque je relève la tête, elle se cogne contre le plafond. Je reviens de la gueule du Loup. Il revient. Dans un mois et demi. Il revient et j’espère qu’Il m’offrira un peu de temps à Lui. Une heure, une soirée, une nuit. Peut être qu’il ne se passera Rien. Mais que je relèverai la tête sans l’exploser contre le ciel. Il m’a promis qu’il ne partirai pas comme un voleur. Qu’il serai là. « Faut faire attention a Toi Louloute » ce sont ces derniers mots qui ont marqué la fin d’un été à l’oublier. En vain. En vain. Je n’arrive plus à faire semblant. Il a était là, et il y est toujours. L’absence n’efface rien. Il est encore plus présent qu’avant. J’aimerai remplir le vide. Je saisi toute les perches. Il parait que tout s’apprends sur le terrain. Je ne tiens pas en équilibre. Je voudrais tomber à ses lèvres sans me casser les dents.
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